Francisco SEPULVEDA
OEUVRES
BIOGRAPHIE
Né en 1977 à Santiago du Chili, vit et travaille en France depuis 2004.
Etudie le dessin ,la peinture et la gravure à l’Ecole des Beaux-Arts de Santiago et puis à l’Atelier Wifredo Lam où il explore les techniques expérimentales de la gravure .
Francisco Sepùlveda expose depuis 1995 et effectue de nombreux séjours à l’étranger.
Les oeuvres de ce jeune artiste figurent déjà dans quelques collections publiques dont le Centre d’Art Contemporain de Cordoba en Argentine, la Bibliothèque Nationale d’Espagne à Madrid, la Bibliothèque Nationale de France à Paris, la Bibliothèque Municipale de Part-Dieu à Lyon, l’Institut Cervantès à Lyon, etc.. et le Grand Prix Azart 2009 du magazine éponyme vient de lui être décerné.
Expose régulièrement en France, Suisse, Allemagne, Etats-Unis et Amérique Latine.
« Exubérant, mystérieuse et magique à la fois l’oeuvre polymorphe de Sepùlveda foisonne de références à ses racines sud-américaines et aux différentes cultures auxquelles il a été exposé lors de ses nombreux et incessants voyages. Les critiques se sont penchés sur son travail et parlent de la Galaxie Sepùlveda, la palette des dieux et ils le comparent avec un ogre joyeux au rire tonitruant, un géant vorace et insatiable, qui dévore des univers, s’en repaît, pour mieux n’en modeler qu’un : le sien, unique, éclatant, fascinant. »
Micheline Vorbe – Images entre rêve et réalité
« Voici des années maintenant que je suis le travail de Francisco Sepúlveda, artiste d’origine chilienne qui, bien qu’il réside en Suisse, n’a rien perdu de ses racines latino-américaines, ni de son humour. Dans ses toiles, les images s’installent comme dans un surgissement depuis ce seuil subtil qui sépare le rêve de la réalité. Des plans de couleur et une atmosphère surréelle l’aident à composer une oeuvre sillonnée d’une charge onirique très significative. Sepúlveda recrée son propre univers dans un espace volontairement sobre, articulé à partir d’une grande économie de moyens plastiques et où ses figures acquièrent une présence sans équivoque. »
Antonio Segui, Arcueil, Octobre 2011